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Le premier suspect dans l’assassinat de Cherubin Okende est aux arrêts, d'après la justice

Le premier suspect dans l’assassinat de Cherubin Okende est aux arrêts, d'après la justice

La justice a appréhendé un individu suspecté dans le dossier de l’assassinat de l’ex-ministre des transports et communication. « Le premier suspect dans l’assassinat d’Okende est aux arrêts, l’arme du crime a été trouvée dans le véhicule », selon le Procureur général près la Cour de cassation, Firmin Mvonde Mambu. "Les premiers éléments révèlent que la mort a été donnée par balle. L’arme du crime est connue. Je voudrais vous informer également que présentement se trouve entre les mains de la justice le premier suspect qui est en train d’être entendu par le Parquet de grande instance», a-t-il ajouté. Reconnaissant que la  victime était invitée par la Cour constitutionnelle, il a néanmoins expliqué qu’il n’est pas possible à ce stade de dire s’il était physiquement passé dans les installations de son office le mercredi 12 juillet. S'agissant du juge qui a invité la victime  à la Cour constitutionnelle, Firmin Mvonde a affirmé que : «monsieur Okende était déjà en pourparlers avec un juge pour quelques renseignements  par rapport. Ils ont communiqué par messages. En ce qui le concerne, le président de la Cour constitutionnelle, Dieudonné Kamuleta a en guise de conclusion relevé :  «Si j’ai laissé la parole au Procureur général près la Cour de cassation, parce que nous sommes dans une affaire pénale. C’est dans le cadre de la déclaration du patrimoine familial, à l’entrée comme à la sortie.  Et le RI de la Cour, en son article 93, donne au juge rapporteur le droit d’inviter l’intéressé pour les éléments ne sont pas complet. On n’invite pas l’Administration parce que nous sommes en matière de déclaration du patrimoine familial, c’est individuel, c’est secret, confidentiel. C’est la personne qui doit ajouter des éléments qu’on invite. Même le Premier ministre actuel est soumis à cet exercice-là. Et dans ce cas précis, il y avait trois ministres démissionnaires à qui on a lancé des invitations à tous les trois. C’était pour donner des compléments d’informations.