Après avoir reçu une amende il y a une semaine pour avoir pris part à une fête surprise organisée à l’occasion de son anniversaire en pleine période de confinement l’année dernière, le premier ministre britannique est désormais visé par une enquête des parlementaires annoncée jeudi pour déterminé s’ils ont été trompés dans l’Affaire par Boris Johnson. Ce dernier malgré sa large majorité au parlement, et ses excuses présentées aux députés mercredi se retrouve avec une troisième enquête après celles de l’administration et de la police encore en cours. Cette décision des parlementaires à terme sera susceptible de contraindre le dirigeant conservateur à la démission. Le code ministériel anglais dispose qu’un ministre qui a trompé le parlement doit démissionner. Devant le parlement à maintes reprises Boris Johnson lui a assuré que toutes les règles pendant la fête avaient été respectées assertion contredite en raison de l’amende dont il a écopé. L’enquête parlementaire va débuter une fois celle de la police achevée.