En Ukraine, après de nombreux jours de tranquillité relatif sur le front aérien, de nouveaux missiles se sont abattus, hier samedi 14 janvier au matin à Kiev, la capitale, sur des infrastructures essentielles. Peu d’informations filtrent sur les cibles de ces bombardements, mais ce qui est nouveau, c’est que cette fois, les alarmes anti-aériennes ne se sont pas déclenchées. La défense anti-aérienne à paru, là, avoir été prise de court. Et pour des responsables ukrainiens, cela veut dire que les Russes ont utilisé non pas des missiles de croisière de type Kalibr, qualifiés de « lents », mais des missiles balistiques de type Iskander, bien plus rapides et difficilement détectables par les moyens actuels de défense anti-aérienne.