Réunis vendredi à l’occasion d’un sommet extraordinaire l’Organisation a demandé que le président Kaboré et les responsables qui ont été arrêté soient libérés. La mesure s’inscrit dans le protocole de démocratie et bonne gouvernance de la Cédéao qui d’après le président de la commission de la Cédéao Jean-Claude Brou comprends des dispositions majeures dont la plus importante est l’accession au pouvoir par des élections démocratiques. Toutefois aucune sanction économique n’a encore été envisagée par la Cédéao. Ce samedi les chefs d’Etats vont se rendre à Ouagadougou pour entamer le dialogue avec la junte.