Il s’agit principalement de ceux en discussion à Doha au Qatar depuis le 13 mars. Samedi ils ont demandé dans un communiqué la libération immédiate et sans condition des six leaders de la société civile arrêtés et incarcérés après la manifestation organisée la 14 mai dernier pour protester contre la politique française dans leur pays. L’un des chefs rebelle a ajouté à la suite de ce communiqué que leurs arrestations risquent de conduire à la suspension des discussions à Doha si leur demande n’est pas prise en compte. Le gouvernement de son con côté en réponse à cette exigence affirme que c’est à la justice de décider de leur sort. Transférés à la prison de Moussoro dans le centre les dits leaders accusés de destructions des biens et de troubles à l’ordre public verront leur procès s’ouvrir le 6 juin.
Tchad : les groupes rebelles exigent la libération de leaders de la société civile
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