Elle a éclaté lundi pour contester et demander l’annulation d’un décret de nomination et de l’intronisation d’un chef de canton. Violemment réprimée d’après des témoins sur place la foule a dû être dispersée par les militaires que les sources accusent d’avoir tirés à balles réelles. Une vingtaine de blessés dont cinq dans un état grave ont été conduits à l’hôpital. Le porte-parole du gouvernement a démenti les faits et les associations de défense des droits de l’homme demandé que justice soit faite.