Actu people

Harry, le prince royal traqué et espionné par des détectives

Harry, le prince royal  traqué et espionné par des détectives

 

Etre prince fait rêver. N’empêche  cela peut  devenir un calvaire ; avec sur la tête une éternelle « épée de Damoclès » qui s’appelle les médias. Au Royaume Uni, la presse qui s’intéresse aux têtes couronnées n’a rien de loyal ou de royal. Elle est de caniveau.

Nous avons assisté cette semaine à de pathétiques remises en cause, avec un mea culpa plus que risible. Un détective privé nommé, Gavin Burrows, reconnait avoir « volé l’adolescence du Prince Harry » en l’espionnant, systématiquement. Il avoue qu’il faisait partie d’un gang qui le surveillait, piratait ses téléphones, le harcelait sans le moindre scrupule ; pourvu qu’il ait à raconter aux lecteurs. Dans un accès de repentance, le soutier admet avoir été impitoyable avec le jeune homme. Il confesse : « Je faisais essentiellement partie d'un groupe de personnes qui lui ont volé son adolescence normale et je le regrette.»

Les  relations du prince avec les filles en pâtissent

Aujourd’hui, presque dix ans après la fin de sa relation avec Chelsy Davy, le prince Harry comprend pourquoi il n’a pas pu avoir une relation normale avec sa petite amie d’alors. Son téléphone et ses courriers étaient lus, fouillés et décortiqués, pour y trouver le moindre « biscuit », la faille ou le début de scandale sexuel qui viendrait alimenter et nourrir la soif de sensationnel des amoureux de la vie royale. Les dérapages étaient légion : « Il y avait beaucoup de piratage de messagerie vocale, il y avait beaucoup de travail de surveillance sur ses téléphones, sur ses communications. Chelsy Davy se vantait auprès de ses amis quand elle allait voir le prince le soir ! ».

 Meghan comme Diana, le choc avec les paparazzis 

Si les journalistes et leurs acolytes avouent l’impensable et disent : «  qu’ils ont même fouillé dans les dossiers médicaux de Davy, pour savoir si elle avait eu des maladies sexuellement transmissibles ou des avortements avec le prince Harry ! »

 En somme, tout en bon pour donner du grain à moudre aux afficionados des cours royales et des dessous de jupes de la « royal life ». On comprend mieux pourquoi Meghan Markle, et le  Prince Harry  ont choisi  l’exil en Amérique.

Adam Etienne, Lille, pour Omondo