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Suzanne et l’empoisonneur : le prédateur pris la main dans le collyre

Suzanne et l’empoisonneur : le prédateur pris la main dans le collyre

Un Scénario de Thriller

En avril 2015, Suzanne Bailly, une octogénaire active, est victime de convulsions pour la troisième fois. Elle parvient à signaler un "mauvais goût" dans sa bouteille d'eau, qui s'avère contenir de l'atropine, un puissant toxique. L'enquête mène à Olivier Cappelaere, propriétaire en viager de l'appartement de Suzanne, chez qui la police découvre du collyre pour chien contenant le poison.

L'Affaire Cappelaere

Olivier Cappelaere, surnommé "l'empoisonneur au viager", est accusé d'avoir tenté d'empoisonner Suzanne à plusieurs reprises pour hériter de ses biens. Déjà condamné à vingt-cinq ans de prison pour empoisonnement avec préméditation, il est de nouveau jugé pour des faits similaires. Ce chef d'entreprise avait investi dans plusieurs biens en viager, et ses méthodes soulèvent des questions sur ses motivations réelles.

Un Procès Retentissant

Le procès d'Olivier Cappelaere attire l'attention médiatique, mettant en lumière les dangers liés aux transactions viagères et les failles potentielles dans la protection des personnes âgées. Suzanne Bailly, qui a survécu à ces tentatives d'empoisonnement, incarne la résilience face à la cupidité et à la manipulation. Le verdict, attendu avec impatience, pourrait avoir des répercussions sur la législation concernant les contrats viagers.