La majorité des groupes armés impliqués dans le processus de paix a dit non au projet de nouvelle constitution dans sa forme actuelle. Une opposition qui intervient après celle des partis politiques maliens puis celle d'une association de religieux. L'alliance des groupes armés estime, dans un communiqué que le texte qui doit être soumis à un référendum, ne prend pas en compte leurs préoccupations. Et parmi les signataires du communiqué figurent les principaux groupes armés indépendantistes, autonomistes et même les pro-Bamako. Tous disent non au projet de nouvelle constitution pourtant validé par les autorités de transition.