Depuis la sortie de la France des pays du sahel réunis au sein de AES , Alliance des Pays du sahel, les problèmes, les insinuations, les piques et les chaussetrappes continuent pour gêner ces pays en mal de liberté et indépendance. Paris qui ne sait sur quel pied danser avec ces pays, et la Nouvelle Afrique, qui veut se défaire de la trop encombrante influence française, se débat dans une politique pleine de contradictions et perd de plus en plus pied en Afrique.
Une France sans boussole ni gouvernail en Afrique noire
Dans cette situation certains pays, anciennes chasse gardées de la France aimeraient garder des relations a peu prés normales avec les autres pays européens, ce que PARIS, qui manie le bâton, voit d’un mauvais œil.
En conséquence, Paris bloque l’aide militaire promise à Bazoum, et ne veut surtout pas qu’elle tombe dans l‘escarcelle du gouvernent actuel au Niger.
Cependant, la présidente du conseil italien, Giorgia Meloni aimerait continuer à travailler avec le Niger, par exemple, et essaie de laisser cette aide au gouvernement en place. Au nom d’un certain réalisme. Une nouvelle vison , des relations bilatérales , qui ne plait pas franchement à Paris, et qui susciterait des graves tensions au sein de l’union européenne.
Mais Paris pourrait-elle longtemps défendre une diplomatie qui entrave la volonté des peuples africains à revoir leur relations diplomatiques et , à réparer les erreurs du passé.