Versions falsifiées, traductions incohérentes, passages réécrits, produits de luxe, vêtements, baskets entre autres. C'est le marché de la contrebande qui tourne à plein régime sur Amazon, le puissant du commerce en ligne. Une enquête du quotidien Le Figaro révèle que l'édition est aussi touchée par le fléau de la contrefaçon littéraire. La première option d'achat proposée aux internautes est, en effet la version la moins chère et non pas l'offre officielle de l'éditeur. Résultat l'auteur n'est pas rémunéré, mais Amazon continue recevoir une communication, sur chaque vente. Des accusations des éditeurs de ne pas être très actif, que le géant du commerce en ligne réfute. De ce fait, Amazon dit avoir investi, l'année dernière 900 millions de dollars pour débarrasser sa plateforme, des produits contrefaits.