C'était une journée de mobilisation prévue de longue date mais qui a pris une symbolique particulière. En effet, les journalistes tunisiens ont organisé, jeudi 16 février une "journée de la colère" face à ce qu'ils estiment être un recul de la liberté de la presse dans leur pays. En cause, des conditions de travail de plus en plus difficiles sur le terrain et l'arrestation, lundi 13 février, de Noureddine Boutar, le directeur général de Mosaïque FM, la radio la plus écoutée du pays.
Liberté de la presse: À Tunis, les journalistes dénoncent un climat irrespirable
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