C'est le 4 décembre dernier que les États-Unis ont annoncé qu'ils refuseront d'octroyer des visas aux responsables ougandais qui appliqueraient une loi anti homosexualité controversée et promulguée dans le pays d'Afrique de l'Est en mai et qui comprend des sanctions allant jusqu'à la peine de mort.
D'après le secrétaire d'État américain Anthony Blinken cette mesure concernerait les responsables ougandais, qu'ils soient encore en activité ou non et les membres de leur famille, s'il s'avère qu'il ont joué un rôle dans la "répression des membres des populations marginalisées ou vulnérables".
Ces groupes comprennent entre autres les défenseurs de l'environnement, les défenseurs des droits humains , les journalistes, les personnes LGBTQI+ et les responsables d'organisations civiles a précisé Anthony Blinken dans un communiqué.