Une frappe aérienne israélienne dans la banlieue sud de Beyrouth a fait au moins 12 victimes ce vendredi, dont Ibrahim Aqil, chef de la force Al-Radwan, une unité d'élite du Hezbollah. Cette attaque marque une escalade significative dans le conflit entre Israël et le Hezbollah.
Un coup dur pour le Hezbollah
Ibrahim Aqil, figure clé du mouvement chiite libanais, avait déjà été blessé mardi lors de l'explosion de son bipeur, dans le cadre d'une série d'attaques ciblées attribuées à Israël. Sa mort représente une perte majeure pour le Hezbollah.
Bilan et réactions
Selon l'armée israélienne, une dizaine d'autres commandants du Hezbollah auraient également péri dans l'attaque. Cette frappe soulève de vives inquiétudes quant à une possible escalade du conflit dans la région.
Contexte tendu
Cette opération s'inscrit dans un contexte de tensions croissantes entre Israël et le Hezbollah, marqué par des échanges de tirs quasi-quotidiens à la frontière libano-israélienne depuis plusieurs mois.
Implications régionales
L'élimination d'un haut responsable du Hezbollah sur le sol libanais pourrait avoir des répercussions importantes sur l'équilibre fragile de la région, avec des risques d'embrasement du conflit.