Le porte-parole du ministère du développement local, Khaled Kassem, a déclaré que des travaux étaient en cours pour fournir 100 nouveaux bus alimentés à l'électricité. De même que la mise en œuvre d'un projet d'amélioration de la qualité de l'air dans les villes égyptiennes dites « vertes », en coopération avec la Banque mondiale, pour un coût total de 200 millions de dollars.
Selon le porte-parole du ministère du développement local, les travaux avaient commencé sur un projet de fourniture de 100 nouveaux bus électriques soutenu par la Banque mondiale en 2018. <Nous avons commencé la mise en œuvre du processus de planification détaillée de la ville des déchets, qui sera la plus grande ville de gestion des déchets de toutes sortes sur une superficie de 1 200 hectares >>, a indiqué Khaled Kassem.
Il a également indiqué que le président Abdel Fattah El-Sisi attache une grande importance au nouveau système de gestion des déchets solides pour assurer son succès, notamment en vue de fournir le financement nécessaire à sa mise en œuvre dans tout le pays.
L'accent est mis sur la transformation de la gestion des différentes voies et lignes dans le transport interne, vers une gestion rationnelle, ainsi que sur la planification du processus de transport interne et la conversion des bus de la bougie noire "diesel" à la bougie blanche, qui est le gaz naturel ou l’ électricité.
Ce projet d'amélioration de la qualité de l'air et du changement climatique vise à faire des villes égyptiennes des villes vertes en coopération avec la Banque mondiale, pour un coût total de 200 millions de dollars.
Ruth MUSI