Sujet favori évolutif des pays les plus vulnérables au changement climatique, le problème des réparations financières pour les détériorations causées pourrait s’imposer pour la première fois à l’agenda officiel de la COP27, qui s'ouvre à Charm el-Cheikh (Égypte) du 6 au 18 novembre. Ce cheval de bataille indéfectible concerne une quarantaine de petits pays insulaires, qui s’expriment par le canal d’une coalition, l’Aosis. Ces îles n’émettent qu’1,5% des Gaz à effet de serre et pourtant comptés parmi les États les plus menacées par le dérèglement. La COP représente, pour ces habitants de la mer, un colis de renvoi inassimilable dans lequel certaines personnalités semblent retissant.
Pertes et dommages dus au changement climatique: que faut-il attendre de la COP27 ? (2/2)
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