Un homme est  décédé lors des frappes dans la rue, au premier jour de blocages et de protestations dans la région de Santa Cruz en Bolivie. L'annonce a été faite par le gouvernement, l'ONU et l'Union Européenne appelant à l'arrêt des violences. Le président de gauche Luis Arce a condamné la violence sur Twitter. Il a appelé à faire la lumière sur ce drame «qui a causé la perte irréparable d'une vie humaine» et à ce que l'enquête permette de «sanctionner les responsables». Toutefois il faut noter que la victime, Pablo Taborga, faisait partie d'un groupe d'habitants opposés au blocage d'un pont organisé par des opposants au gouvernement de gauche du président. Ensuite il a été admis dans un hôpital local, où il est décédé un peu plus tard, d'après sa femme (veuve).