Le président français Emmanuel Macron a affirmé hier vendredi que le gouvernement «ne céderait pas à la violence», alors que la mobilisation contre la réforme des retraites a été émaillée de nombreux incidents, soulignant que le pays ne pouvait «pas être à l’arrêt». «En démocratie, on n’a pas le droit à la violence», a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse à Bruxelles. «Face aux violences, que je distingue des manifestations, nous continuerons à avoir la plus grande fermeté. Je condamne les violences auxquelles nous avons pu assister hier (ndlr: jeudi), j’appelle chacun à la responsabilité, et j’assure de mon soutien les forces de l’ordre qui ont fait un travail exemplaire», a noté le chef de l'État