Lors d'un rassemblement à Springfield, Ohio, l'ancien président américain Donald Trump a intensifié sa rhétorique anti-immigration, promettant des "expulsions massives" et accusant des migrants haïtiens de "manger des chats". Ces déclarations controversées s'inscrivent dans le cadre de sa campagne pour l'élection présidentielle de 2024.
Des accusations sans fondement
Trump a repris une rumeur non vérifiée selon laquelle des migrants haïtiens mangeraient les chats des résidents de Springfield. Ces allégations, largement démenties, ont suscité l'indignation de nombreux observateurs et responsables politiques.
Promesses d'expulsions massives
L'ancien président a réitéré sa promesse de procéder à des "expulsions massives" s'il était réélu, ciblant particulièrement les migrants en situation irrégulière. Cette position tranche avec celle de l'administration Biden, qui privilégie une approche plus nuancée de l'immigration.
Réactions et conséquences
Ces déclarations ont provoqué de vives réactions, tant de la part de ses opposants que de certains membres du Parti républicain. Le président Biden a appelé Trump à cesser d'attiser les tensions, soulignant qu'il n'y a "pas de place en Amérique" pour de telles allégations.
Conclusion et perspectives
Les propos de Trump reflètent une stratégie de campagne axée sur une rhétorique anti-immigration dure. Ils soulèvent des questions sur l'impact de tels discours sur le climat politique et social aux États-Unis, ainsi que sur les conséquences potentielles pour les communautés immigrées.