Au Soudan, les divergences entre les forces armées soudanaises (SAF) dirigé par le général Abdel Fattah al-Burhan et les forces de soutien rapides (RSF) conduite par Mohamed Hamdane Daglo sur l'intégration de cette dernière dans l'armée nationale ont entraîné le report de la signature de l'accord politique final qui était prévue pour le samedi 1er avril. Lors d'une réunion, les parties prenantes ont discuté de l'évolution du processus politique visant à signer l'accord final. Face au différend, tous ont convenu de s'accorder quelques jours supplémentaires de négociations sans souligner la signature de la constitution transitoire, initialement prévue pour le 6 avril. Selon le porte parole du processus politique Khaled Omar Youssef "toutes les parties militaires et civiles ont décidé d'intensifier leurs efforts afin de résoudre ces questions techniques non résolues dans une période commençant le samedi 1er avril et se terminant le 6 avril et de travailler aussi dur pour trouver un accord sur le point qui n'a pas été résolu avant le 6 avril".