L'acteur français Gérard Lanvin, installé au Maroc depuis 2014, réagit fermement aux accusations d'exil fiscal qui le visent depuis son départ de France. Dans une récente déclaration, il clarifie ses motivations et affirme son droit de choisir son lieu de résidence.
Un choix de vie, pas une fuite fiscale
Gérard Lanvin insiste sur le fait que son installation au Maroc n'est pas motivée par des raisons fiscales :
- Il affirme être "heureux là-bas" et apprécier le cadre de vie marocain.
- L'acteur souligne son désir de vivre sous le soleil, loin des contraintes climatiques françaises.
- Il maintient payer "60% d'impôts" et nie catégoriquement avoir quitté la France pour des avantages fiscaux.
Des frictions médiatiques
Le départ de Lanvin a suscité des controverses, notamment avec l'animateur Laurent Ruquier :
- L'acteur évoque des "petites frictions" avec Ruquier, qui critiquait les artistes quittant la France pour des raisons fiscales.
- Lanvin s'est défendu en expliquant sa position sur la fiscalité, tout en réaffirmant que ce n'était pas la raison de son départ.
Le droit de choisir sa vie
La conclusion de cette affaire soulève une question importante : Gérard Lanvin a-t-il le droit de vivre sa vie comme il l'entend ?
- En tant que citoyen libre, Lanvin a effectivement le droit de choisir son lieu de résidence.
- La liberté de circulation et d'établissement est un droit fondamental, tant que les obligations fiscales sont respectées.
- L'acteur semble frustré par les jugements portés sur son choix personnel de vie.
Cette controverse met en lumière les tensions qui peuvent exister entre la liberté individuelle et les attentes sociétales, particulièrement pour les personnalités publiques. Gérard Lanvin, par ses déclarations, revendique son droit à la vie privée et à l'autodétermination, tout en se défendant des accusations d'évasion fiscale.