Quatre jours après la mort de plusieurs dizaines de conscrits russes dans la frappe d'un immeuble à Makeïevka en Ukraine, la colère ne faiblit pas dans les milieux ultranationalistes. Après les critiques contre la hiérarchie militaire, coupable de les avoir stationnés dans un immeuble sans protection, la communication officielle du ministère de la Défense sur l'incident s'est très mal passée. Les conscrits auraient provoqué eux-mêmes le bombardement sur leur position en utilisant leurs téléphones portables pour appeler leurs familles en Russie pendant la nuit du Nouvel An. Quant au lance-missiles Himars qui les avait bombardés, il a été détruit par un tir de riposte.
En Russie, la communication sur le bombardement de Makeïevka indigne les ultranationalistes
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