Les représentants de la communauté internationale dans le pays ont demandé jeudi que les hostilités cessent afin de garantir un bon déroulement des élections législatives et présidentielles. Le communiqué publié par les 23 représentants de l’ONU indique que les élections doivent se passer dans un environnement exempt de violences. Ces derniers mois la recrudescence de la violence des groupes armés dans diverses régions de la Colombie fait craindre des interférences dans le processus électoral où l’on pourrait s’attendre à des fraudes dû à leurs pressions. Les colombiens sont appelés à voter aux législatives pour renouveler le parlement le 13 mars et pour élire le successeur du président Ivan Duque qui ne peut se représenter le 29 mai.