C’est à l’unanimité qu’elle a été adoptée lundi par les membres du Conseil national de transition l’organe législatif provisoire dans le pays. La charte présente des nouveautés. Notamment le passage du nombre de parlementaires de 121 à 147. Le texte indique aussi que l’élection présidentielle bien que sa date ne soit pas encore connue va marquer la fin de la transition. Le poste de vice-président de la transition est supprimé, l’amnistie va également être votée par les auteurs des deux derniers cous d’Etat et le président de transition et actuel chef d’Etat Assimi Goïta ne pourra pas se présenter aux prochaines présidentielle et législatives. Le délai pour la fin de la transition n’a pas été indiqué dans le texte.