Selon un rapport de l’ONG publié hier mercredi les conditions de travail des agents de sécurité dans les projets liés à la Coupe du monde de football seraient comparables au travail forcé. Ces travailleurs originaires principalement du Kenya et de l’Ouganda d’après le rapport décrivent des journées de travail de 12 heures tous les jours soit 84 heures par semaine parfois sans ombre ni eau potable même pendant les mois les plus chaud. Pourtant d’après la loi qatarie les travailleurs doivent avoir 60 heures de travails hebdomadaires avec un jour de repos fixé par l’Organisation du travail. Amnesty dans le document constate aussi que les heures supplémentaires sont insuffisamment payées et ne peuvent être défendues par aucun syndicat. Critiqué depuis qu’il a été choisi pour abriter le mondial, le Qatar a mis en place des réformes qui abolissent le système qui fait des salariés des quasi-propriétaires de leur employeur.