Il s’agit de ceux qui ont été écartés par le général Abdel Fattah al-Burkhane le 25 octobre dernier. Les interpellations dernières en date, dont ils font l’objet visent aussi les journalistes et même les avocats qui militent pour un retour du pouvoir civil. Déjà arrêtés lors du putsch avant d’être relâchés en raison de la pression internationale, ces membres de la coalition des forces de liberté avaient accepté de prendre part à la médiation proposée par les nations unies pour tenter une sortie de crise politique dans le pays en janvier.
Soudan : nouvelles salves d’arrestation, les représentants des partis politiques en ligne de mire
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