Beyoncé a été la reine de la 65e cérémonie des Grammy Awards. Elle est la plus grande pop star du monde, il y'a moins de doute à-propos. Son album Renaissance a été l’un des plus vendus et streamé l’an dernier.
Et hier nuit à Los Angeles, Queen Beyoncé est entrée un peu plus dans l’histoire de la musique en battant le record absolu de Grammys gagnés. Hymne de la contestation en Iran, Barayé a été primé. Elle n’était pas là pour ses premiers Grammys de la journée, apparemment coincée dans les embouteillages de Los Angeles. Mais Beyoncé a fait son apparition au bon moment.
Pour le 32e Grammy de sa carrière. «Je vais essayer de contenir mes émotions, a-t-elle déclaré sur le podium. J’essaie de profiter de cette soirée. Je veux remercier Dieu pour sa protection, merci Dieu. Et j’aimerais remercier la communauté queer pour son soutien. » Célébrée et très émue, la star a dépassé donc le chef d’orchestre britano-hongrois Guiorgue Solti.
Mais manque toujours à son palmarès la récompense la plus prestigieuse, celle du meilleur album de l’année. En 2017, elle avait perdu face à Adele. Et cette fois, c’est un autre phénomène britannique qui lui a volé la vedette. Harry Styles, l’ancien membre du boys band One Direction, pour son album Harry's House. « C’est important de se rappeler qu’il n’y a pas de meilleur en musique.
Or un prix comme ça, ça n’arrive pas souvent aux gens comme moi. Alors merci », a-t-il lancé. Toutefois Beyoncé, Queen B puisqu'il s'agit d'elle bien évidemment, se pépare à une tournée qui va l’emmener en Europe et en Amérique du Nord à partir du mois de mai prochain.