Il n’y a désormais plus d’ex-président sud-coréen condamné à des peines de prison. Après la grâce de Park Geun-hye en 2021, c’est au tour de l’ancien chef d’État, Lee Myung-bak, de bénéficier de la grâce présidentielle. Cette figure très controversée avait été condamnée à 17 ans de prison pour corruption et détournement de fonds. Ce sont quinze années de prison et environ 16 millions de dollars d’amende qui disparaissent sur décision présidentielle, à partir de ce mercredi 28 novembre. Pour Lee Myung-bak, président de la Corée du Sud de 2008 à 2013 et aujourd’hui âgé de 81 ans, cette grâce est salvatrice, puisqu’en plus de l’annulation de sa peine, il retrouvera dès mercredi ses privilèges d’ancien chef d’État.
Corée du Sud: la grâce présidentielle accordée à l’ancien dirigeant Lee Myung-bak
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