Les lions de l'Atlas sont venus au bout des Black stars du Ghana (1-0) lors d'un match plutôt fermé.
C'était prévu pour être le choc de cette journée. Maroc-Ghana, sur le papier, on aurait dit une finale. Mais la rencontre prometteuse n'a pas porté les fruits escompté. On a plutôt assisté à un match très haché avec quasi une faute à chaque duel. Tenez par exemple, rien qu'à la première mi-temps, on a eu 23 fautes.
Des gestes responsables du manque de fluidité lors du match ; de quoi rendre la rencontre assez maigre. Les deux équipes des l'entame du match ont essayé de percer les lignes avec des longes transversale. Mais des deux côtés, on a trouvé des défenses qui lèvent le pied. Même si au milieu du terrain, cela n'a pas suivi. La Maroc est entré timidement dans son match et avait de la peine à construire un jeu. Le milieu de terrain complètement absent, les actions venaient plus des ailles arrières grâce au lateral: Hakimi qui a su répondre présent par sa vitesse dans ses remontés et ses montés constantes pour favoriser le jeu à l'intérieur. Des actions plutôt stériles avec peu de maitrise dans la gestuelle du côté marocain. Leurs mérites auraient été juste leur ténacité et concentration qui a permis de profiter d'une erreur de relance dans la surface des Black Stars pour que Sofiane Boufal ouvre le score.
Et côté Ghana, on a eu un Thomas Partey complètement hors de son match encahainant déchets technique sur déchets techniques. Lui qui pourtant avec les frères Ayew sont les aînés dans cette équipe et doivent tirer les plus jeunes vers le haut. Seul Jospeh Paintsik a plus ou moins inquiété le Maroc avec quelques accélérations et une enroulé au second poteau qui a retiré par une claquette du gardien marocain. Un gardien pas très sollicité lors de ce match.
Paul Reinhard WANDJI