Pour quelques privilégiés qui ont lu les bonnes feuilles, ce livre va défrayer la chronique. Nous vous relayons en avant première, les réactions qui fusent depuis. Voici celle d’Helene Matiz de Dunkerque, une sociologue, à la retraite.
« Fière d’être une Martine Cadette… »
Christian Sabba Wilson était, jusque là, resté dans les contre-allées de bibliothèques et des laboratoires de la pensée. Avec ce nouveau livre, l’auteur descend de son magnificat intellectuel pour se fondre dans la foule pour enfin devenir « populaire ». Au sens simple du mot. Il se fait accompagner dans sa pensée par le peuple qui l’acclame et reconnait définitivement son génie et son œuvre. Lire « Martin Cadet est mort » , c’est prendre une part active à son combat pour la liberté, notre liberté commune, contre les grands maitres du monde de la finance, de la haute technologie, qui ont décidé de faire un holdup up sur nos destinées.
Qui donc leur en donne le droit ! Révoltons-nous ! Allons suivre les pas de l’impertinent Martin Cadet. Que l’humanisme triomphe de la folie des avoirs et des possessions. Nous sommes encore les descendants de Kant et de Descartes. Pas ceux de Rockefeller, svp ! Oui ! Christian, Sabba Wilson, sonne la révolte, la lutte ne fait que commencer. Ne laissons pas quelques ambitieux nous voler notre civilisation. Levons-nous, face aux superpuissants des nouvelles technologies, et aux maitres du Monde, hissons le drapeau rouge des révoltés.
Helene Matiz, de Dunkerque. Professeur de Sociologie retraitée et pas heureuse dans ce nouveau monde techno.