Après plusieurs mouvements de grèves qui ont connu un succès éclatant, l'Union général des travailleurs tunisiens (UGTT), était face à la presse nationale et internationale pour présenter leur nouveau canevas. Devant les hommes de médias, ils ont présenté un document visant à changer le régime politique actuelle en court dans le pays. À un mois du prochain référendum sur la loi très controversée, le plus grand mouvement tunisien entend mettre à la disposition de l'ensemble de la population le texte finale.
Dans un contexte assez difficile, en Tunisie dû à des tensions sociales, la plus grande association syndicale du pays (UGTT) était face à la presse nationale et internationale pour montrer le nouveau code qui doit régir le pays. Après avoir été absent du '' Grand Dialogue '' initié par le Président de la République, la toute puissante organisation syndicale, a mis sur pieds un texte qui selon eux doit entrer en vigueur immédiatement. Pour l'UGTT, ce récent dialogue national organisé par le gouvernement était juste une farce car il a pratiquement exclut tout les dirigeants politiques hostiles au pouvoir central.
Dans ce nouveau code que va mettre à la disposé des populations dans quelques jours l' UGTT, l'on note la présence de plusieurs cadres de divers domaines de la société tunisienne. Historien, politologue, sociologue, société civile, professeur de droit ont posé leurs plumes à la rédaction du dudit document.
Pour l'UGTT, il est question de le montrer aux tunisiens pour qu'ils comparent d'eux même avec la nouvelle constitution qui peut-être adoptée dans quelques semaines.
Pour le secrétaire général de l'UGTT, il est question de mettre sur pieds une loi qui va arranger toutes les couches sociales, il ont notamment reconnu le besoin de réformer les institutions misent en place en 2021. '' La rédaction d'une constitution n'est pas la formulation d'une simple formulation juridique ''.
L'objectif principal de l'Union général des travailleurs tunisiens, c'est la séparation des pouvoirs. Selon la nouvelle constitution qui doit passer par référendum ne garantit pas cette séparation, ils est donc important de trouver un moyen pour stopper cette initiative.
Bera Cruz